Myriam détestait cet endroit. Ce n'était seulement que la seconde fois qu'elle venait ici. Elle avait chercher d'autres solutions mais en vain. Elle savait que ce qu'elle faisait était mal. Mais elle n'avait pas trouvé comment faire autrement.
La jeune directrice de l'hopital Sainte Mangouste marchait dans l'allée des embrumes. En vérité elle frôlait les murs. Elle refusait qu'on la reconnaisse dans un tel endroit. Elle avait mit une cape et une robe de sorcière marron sombre. Le noir ne lui allait pas mais elle ne voulait pas attirer les regards. Sa capuche rabattue sur son visage à partir du moment qu'elle avait pénétré dans ce lieu.
Elle cherchait des oeufs de nagas. C'était un produit très efficaces pour divers maux. Mais la production de filtre avec cet ingrédient avec été interdite par le ministère. Seulement, plusieurs patients étaient arrivé à l'hopital avec des brulures très étranges. Il fallait cet ingrédient car rien d'autre ne les guérirait. Elle avait fait une demande écrite au ministère. La réponse avait prit plus d'une semaine à lui parvenir. Pourtant, le contenu était clair. Si cela ne représentait pas un risque pour la vie des malades, il était tout à fait possible de vivre une vie normale avec des brûlures de ce type.
C'était vrai. Myriam ne pouvait pas le nier. Mais pourquoi laisser ces pauvres gens défiguré alors qu'il y avait une solution pour les soigner ? Elle savait pourquoi les oeufs de nagas avaient été interdits. Les nagas étaient en voie de disparition. Alors forcement, voler leur oeufs ne les aidaient pas. Myriam se sentait désolée pour ces êtres. Jamais elle n'aurait utilisé leurs oeufs pour une autre maladie. Alors qu'ils étaient efficaces sur beaucoup. Mais pour le reste, d'autres filtres et potions pouvaient fonctionner. Mais ces brûlures n'avaient pas d'autres recours.
La jeune directrice avait entendu deux médicomages en parler entre eux. Selon eux, un vendeur de l'allée des embrumes pouvait en faire venir à très bons prix. Ils n'osaient pas se renseigner, mais ils se plaignaient du traitement fait aux pauvres malades. Ils avaient raison. Myriam avait noté le nom du vendeur et elle s'était promis de faire quelque chose.
Et bien voilà, elle y était. Sans doute à l'aube d'une grande erreur.
La jeune directrice de l'hopital Sainte Mangouste marchait dans l'allée des embrumes. En vérité elle frôlait les murs. Elle refusait qu'on la reconnaisse dans un tel endroit. Elle avait mit une cape et une robe de sorcière marron sombre. Le noir ne lui allait pas mais elle ne voulait pas attirer les regards. Sa capuche rabattue sur son visage à partir du moment qu'elle avait pénétré dans ce lieu.
Elle cherchait des oeufs de nagas. C'était un produit très efficaces pour divers maux. Mais la production de filtre avec cet ingrédient avec été interdite par le ministère. Seulement, plusieurs patients étaient arrivé à l'hopital avec des brulures très étranges. Il fallait cet ingrédient car rien d'autre ne les guérirait. Elle avait fait une demande écrite au ministère. La réponse avait prit plus d'une semaine à lui parvenir. Pourtant, le contenu était clair. Si cela ne représentait pas un risque pour la vie des malades, il était tout à fait possible de vivre une vie normale avec des brûlures de ce type.
C'était vrai. Myriam ne pouvait pas le nier. Mais pourquoi laisser ces pauvres gens défiguré alors qu'il y avait une solution pour les soigner ? Elle savait pourquoi les oeufs de nagas avaient été interdits. Les nagas étaient en voie de disparition. Alors forcement, voler leur oeufs ne les aidaient pas. Myriam se sentait désolée pour ces êtres. Jamais elle n'aurait utilisé leurs oeufs pour une autre maladie. Alors qu'ils étaient efficaces sur beaucoup. Mais pour le reste, d'autres filtres et potions pouvaient fonctionner. Mais ces brûlures n'avaient pas d'autres recours.
La jeune directrice avait entendu deux médicomages en parler entre eux. Selon eux, un vendeur de l'allée des embrumes pouvait en faire venir à très bons prix. Ils n'osaient pas se renseigner, mais ils se plaignaient du traitement fait aux pauvres malades. Ils avaient raison. Myriam avait noté le nom du vendeur et elle s'était promis de faire quelque chose.
Et bien voilà, elle y était. Sans doute à l'aube d'une grande erreur.